Après le lancement de deux appels d’offres européens en 2012, l’INA, désigné par le Sénat Français, s’est tourné vers Vectracom pour un projet de préservation des contenus situés dans l’outre-mer français.
Vectracom a par la suite mis au point un système composé de 16 canaux d’ingestion afin de gérer les différents contenus de manière optimale. L’équipe était également en charge de l’installation des dispositifs sur chaque site. Des opérateurs locaux ont également été formés sur place.
Le contenu de St Pierre et Miquelon a été le premier à être traité et préservé par l’équipe de Vectracom, s’en est suivi celui de la Martinique, de la Nouvelle Calédonie, de la Guyane…
Ce projet, long de 6 années, a permis au système de voyager dans les 9 DOM-TOM. 140 000 heures de programmes ont pu être numérisées et réparées si nécessaires. Les conditions de stockage ont également été améliorées.